Shanghai interdit le port du Pyjama !

La grande rivale de Pékin organise en ce moment même ses jeux à elle, à savoir l’exposition universelle. Elle a investi plus de 40 milliards d’euros, souhaite attirer un minimum de 70 millions de visiteurs et cela pour une seule raison…confirmer son arrogante émergence sur la scène internationale. Shanghai se rêve en New York du XXIem siècle et s’en donne les moyens.

Et que vient donc faire cette histoire de pyjamas ?…Si Shanghai émerveille à première vue, elle « souffre » d’une population locale qui ne semble pas vouloir suivre le rythme…car Shanghai a une particularité (j’y ai vécu pendant 3 ans) c’est de voir une partie de sa population se promener dans les rues en….pyjama…et quant on parle de pyjama, cela n’a rien à voir avec le pyjama de la photo ci jointe. Les motifs sont « animaliers » avec des personnages de Disney, les couleurs sont criardes et la coupe n’est pas des plus sexy. Ce sont d’ailleurs surtout les femmes enceintes qui sont les premières concernées et ce avec une certaine logique…Pourquoi acheter de nouveaux habits lors de sa grossesse alors que cet état physique ne s’éternise pas ? CQFD Elles sortent donc dans la rue, font leurs courses en…pyjama. Et c’est vrai que si on s’y fait vite, cela a de quoi surprendre un touriste étranger.

Shanghai a donc mis à contribution ses stars locales telles que Gong Li, Jacky Chan pour sensibiliser sa population au fait qu’une ville « chic » ne se promène pas en pyjama. Le pyjama garde de beaux jours devant lui dans les villes de province mais Shanghai est devenue la vitrine du pays, elle surveille son image.

Et si je redevenais vierge !

Vous souhaitez retrouver votre première sensation sexuelle et connaitre à nouveau la défloration ?..Pas de problème, cela vous en coutera une vingtaine d’euros. Cette prouesse était auparavant toujours possible mais exigeait une opération chirurgicale plus complexe et plus onéreuse.

Qui faut il remercier ?…une société chinoise qui a flairé le gros filon puisque ses kits de virginité font fureur de par le monde et plus précisément dans les pays arabes où non virginité peut signifier répudiation voire pire…la lapidation est toujours en vogue en arabie saoudite ou autres pays barbares du genre.

Comment cela fonctionne t’il ?…En fait, le procédé est très simple. Il s’agit d’une matière naturelle composée d’albumine contenant un colorant reproduisant la couleur de l’hémoglobine. Vous intégrez cette matière dans votre vagin, l’albumine va se coller sur les paroies et dès que défloration il y a, un filet de « sang » apparaitra…Il fallait y penser !…Si vous « googelisez » les mots clé hymen chinois, vous verrez que la blogsphère s’emballe sur le sujet; Certains parlent de décadence, d’autres de « sauvetage », d’autres encore de perversion…L’hymen artificiel deviendra t’il une sorte de sex toy ?…Pourquoi pas..je ne l’ai jamais essayé mais serais plutôt tentée de le faire, pour le fun…

Pourquoi la Chine va (aussi) dominer le marché de l’art ?

Avez vous regardé le journal télévisé hier soir ?…A été abordé le sujet de la croissance mondiale au premier trimestre 2010. France et zone euro en général…0.1% de croissance….Chine, 11.9% de croissance. Nous l’avons compris, la Chine s’apprète à dominer l’économie mondiale d’ici une quinzaine d’années voire moins.

Ce dont nous parlons moins c’est de la croissance chinoise sur le marché de l’art car là aussi l’empire du milieu est en passe de rafler la mise. Certains artistes tels que LIU YE pulvérisent en ce moment toutes les estimations de vente. La vente Sotheby’s du mois dernier de Hong Kong a vu la côte de cet artiste multipliée par 3 par rapport aux estimations les plus optimistes.

Alors pourquoi les artistes chinois ont un tel succès aujourd’hui ? Cela tient à mon avis à de multiples critères…certains seront pérennes, d’autres moins…

1. Les Chinois ont incontestablement un réel talent graphique inné. Il n’y a qu’à regarder leur type d’écriture pour comprendre qu’il s’agit déjà d’une forme d’art.

2. Le peuple Chinois a connu l’une des plus grandes tragédies de l’ére moderne en vivant les heures Mao. Aucune liberté, notamment artistique n’était tolérée…Lorsque les Chinois ont de nouveau obtenu le droit de créer, les énergies se sont enfin libérées et cela a crée un appel d’air énorme.

3. La claque économico/social qu’a pris le peuple chinois est devenue de fait un vrai catalyseur d’idées. Passer de l’ère Mao à l’ère du $ en si peu de temps peut générer de l’imagination artistique à la pelle.

4. Si la Chine s’est ouverte sur le monde, le monde est aussi venu à la Chine. Tous les spéculateurs de l’art se ruent à Pékin et Shanghai, voire Hong Kong pour dénicher les nouveaux Picasso Chinois et font monter assez artificiellement les enchères en faisant le pari d’investir sur 10 artistes en sachant pertinemment qu’un seul conservera une notoriété et une côte réelle d’ici quelques années.

5. La solidarité chinoise est aussi importante. Les « oligarques » Chinois investissent en leurs artistes. Pour fréquenter de nombreux artistes Pékinois notamment, il est amusant de voir que la plupart d’entre eux ont leur mécène qui investit en eux. Il ne s’agit pas forcément de spéculation ici mais plutôt d’une forme d’entraide.

6. Enfin, le gouvernement Chinois a parfaitement compris l’intérêt de l’art. Soucieux (malgré tout…) de son image sur la scène internationale, le régime Chinois promeut un certain nombre d’artistes « officiels » Chinois sur la scène internationale car ils pensent ainsi faire oublier (un peu) le problème des droits de l’homme tant décrié dans les médias occidentaux.

A quand les robots baiseurs ?

La kamasutra revisité par les androïds. Epoustouflante performance.

Piscine Pontoise, un fantasme de plus réalisé.

A vrai dire, je ne considère pas être en « danger » concernant les effets du temps sur mon corps…mais je préfère anticiper. C’est pourquoi depuis quelques semaines, (précisément juste après mon retour en France), je me rends régulièrement à la piscine de Pontoise prés du boulevard St Germain. J’ai découvert cet endroit par hasard en visionnant un film que j’ai adoré, Bleu du réalisateur polonais Kieslowski (quelque chose comme ça, pardonnez moi l’orthographe).

J’aime m’y rendre de très bonne heure, juste avant de rejoindre mon lieu de stage car la fréquentation est relativement faible et je peux nager sans me heurter à des abrutis irrespectueux. Je me force à nager 45 minutes et je surveille ce temps très sérieusement. Après quelques séances, il est amusant de constater que d’autres habitués s’imposent les mêmes contraintes aux mêmes horaires. J’ai donc pu remarquer un homme d’une trentaine d’année, brun, très sportif qui nageait un crawl digne d’un vrai pro. Je me contente de la brasse car je n’ai jamais pu me faire à la nage rapide…Je n’arrive pas à gérer mon souffle.

Nous nous sommes croisés à plusieurs reprises et nous avons commencé à nous saluer aimablement. Il semblait plutôt timide au début mais j’ai compris lors d’une séance qu’il n’y avait pas que la timidité….Il est venu un jour accompagné de sa petite amie que j’ai trouvé tout simplement moche. Jambes courtes et boudinées, des fesses XL ainsi que des seins tombants et très peu sexy. Que d’injustice dans la « complémentarité » des couples. Combien de fois voyons nous des femmes moches avec de beaux hommes ou l’inverse. Cela m’a toujours déplu même si j’ai toujours été assez admirative de voir des gens moches arriver à séduire un partenaire beaucoup plus aidé par la nature….je m’égare…

Pour ceux qui connaissent la piscine de Pontoise, elle a la particularité de proposer aux nageurs toute une batterie de cabines individuelles élégantes, aux portes bleues.

Si les premières semaines, mon beau nageur est resté assez éloigné de moi pour ses séances déshabillage/habillage, j’ai eu la chance un beau jour de me retrouver à proximité de lui.

Nous sommes arrivés tous deux au même moment, avons ouvert nos cabines respectives et j’ai cru voir une certaine émotion chez lui…Nous avons nagé, nous partagions la même ligne, nous nous croisions souvent….et je ne pouvais pas m’empecher de regarder son physique sous l’eau avec mes lunettes à chaque croisement. J’ai vite compris qu’il en était de même pour lui…

Après 45 minutes, je suis sortie du bassin et me suis dirigé vers ma cabine à l’étage, dans un angle assez à l’abri du regard du maitre nageur…Alors que j’étais entrain de retirer mon maillot, quelqu’un grattait à ma porte…J’ai ouvert la porte à mon beau nageur….Ni lui ni moi ne voulions parler. J’étais nue et le suis bien sur restée…Il est entré et s’est immédiatement agenouillé, a levé ma jambe pour la poser sur le banc. L’angle « d’attaque » était parfait et mon bel homme a tout de suite entammé une sucion merveilleuse. Sa langue était fraiche et longue. Je pense avoir joui après quelques mouvements….Ne pouvant plus attendre je l’ai écarté pour m’intéresser à son maillot….Celui ci cachait un membre magnifique, épais et long. Je l’ai pris en pleine bouche et après quelques va et vient, malheureusement l’éjaculation est venue….J’étais plutot agacée et il l’a bien vu….Il a donc eu la gentillesse de placer ses doigts en moi et simuler une pénétration fougueuse. Exactement celle que je souhaitais. Je voulais tellement qu’il me pousse contre la paroi de ma cabine, qu’il écarte mes cuisses, me demande de me cambrer pour me prendre violemment par derrière….La prochaine fois peut être mais quoi qu’il en soit, il a réussi….Damien a réussi à me faire jouir avec ses doigts et a recueilli ma semence avec sa bouche. Il m’a embrassé longuement, ouvert le loquet de ma cabine et a disparu tel qu’il était entré….

Regarde la couleur de mon rouge à lèvres, tu sauras si je veux de toi…

Je viens de lire un super article sur l’un de mes blogs fétiches…A savoir :

Au top de l’innovation, les États-Unis sortent le « Mood Swing Emotionally Activated », un rouge à lèvres malicieux qui en dit long. D’après les fabricants, une réaction chimique permettrait de modifier l’intensité de vos lèvres en fonction de votre état émotif.

Vendu par Too Faced Cosmetics, ce produit se décline en plusieurs teintes. Du rose pâle au rose plus prononcé pour les plus discrètes, au pourpre virant écarlate pour celles qui n’ont pas froid au yeux, votre désir ne passera dès lors plus inaperçu.

Fini les longues périphrases et autres hésitations, simplifions la tâche à notre gent masculine qui n’en sera que plus flattée. Désormais, l’attirance sexuelle se lit au bout de vos lèvres et la lionne qui sommeille en vous exprimera enfin sa bestialité brute. Certes, nous pourrions vous conseiller de consommer ce petit plaisir avec modération, car l’homme a aussi besoin de chercher le désir pour le sublimer. Cependant, à force de trop de galanteries et de doutes inutiles, l’on passe souvent à côté de son plaisir. Alors, sachons aussi laisser place à notre instinct naturellement sauvage et libre.

Lu sur  www.secondsexe.com

Wang Keping, un artiste Chinois

Récemment rencontré dans un vernissage d’un ami commun, Wang Keping expose depuis le début du mois au musée Zadkine dans le 6em arrondissement de Paris. J’apprécie particulièrement son oeuvre et ai écrit un article sur lui dans un site que je fréquente de plus en plus…quand je ne parle pas d’aventures érotiques ou autres.

http://www.ydyledaily.com/2000

De retour en France…

Trois mois d’étude perdu, voilà ce que m’a coûté la bonne morale française. Poursuivie pour atteinte à l’ordre public, actes malveillants (la liste a été artificiellement arrangée..), une association religieuse que je ne préciserai pas m’a poursuivi en justice et a obtenu un arrêté de reconduite à la frontière. Vous comprendrez ainsi mon si long silence. SI je pouvais écrire depuis Kyoto, le coeur n’y était pas et j’ai décidé de ne reprendre l’écriture de ce blog qu’en cas de retour à Paris.

C’est aujourd’hui chose faite et je dois en remercier un politique qui après m’avoir été conseillé par un ami s’est battu pour me voir revenir à Paris. Je ne comprends pas l’acharnement de certains à vouloir me faire taire. Cela concerne principalement des français mais aussi certains de mes concitoyens qui considèrent que je nuis à l’image du Japon. Tout cela me semble tellement ridicule et même dangereux car l’on voit poindre une montée du moralisme qui rappelle certains périodes troubles américaines telles que le mac Carthysme. A mon sens l’on peut tout dire tant que l’on ne nuit pas à l’autre. Mes propos, mes confessions nuisent elles à autrui. Est ce que je porte atteinte à l’ordre public ?..Quelle belle hypocrisie quand on sait que nul n’est contraint de me lire. Je suis d’ailleurs certaines que ceux ou celles qui m’ont attaqué en justice ont été émoustillés et même excités par mes propos. Cela explique peut être leur enthousiasme à me nuire.

Pour revenir à ce politique qui m’a aidé. Je ne le remercierai jamais assez car il s’est même déplacé jusqu’au Japon pour porter une requête à l’ambassadeur de France à Tokyo, lui seul pouvant revenir sur la décision de justice et m’accorder un nouveau visa d’entrée étudiant. Ce politique a mouillé sa chemise pour moi et s’est battu comme un lion pour obtenir gain de cause. Etait il motivé par sa seule attirance pour moi ou par une idée de la justice ?…Je ne le saurai probablement jamais mais quoi qu’il en soit je lui dois beaucoup. Il a souhaité que je conserve son anonymat – il reste un politique 😉 – merci à lui.

Je l’ai remercié bien évidemment lors de son séjour à Tokyo. Je lui ai fait visiter la ville où il se rendait pour la première fois et il a été particulièrement impressionné par l’hospitalité nippone mais aussi par sa bonne chair. Malgré un appétit d’ogre, mon sauveur n’en garde pas moins un physique aguerri. Cette affaire s’est terminée assez logiquement puisque j’ai voulu le remercier sincèrement et n’ai pas résisté très longtemps à ses avances fébriles et sincères. Je lui ai fait connaître notamment un cinéma coquin de Tokyo où les couples ont coutume de se retrouver pour entamer une idylle. Nous étions entourés de jeunes tourtereaux dont la moyenne d’âge ne devait pas dépasser les 17 ans. Ne pouvant se rendre chez leurs parents du fait d’une morale assez puritaine mais aussi d’appartements trop exigus, ils découvrent leur sexualité souvent dans une salle de cinéma. Les plus timides s’embrassent discrètement quand d’autres plus téméraires n’hésitent pas à aller un peu plus loin, voire beaucoup plus loin. Nous avions par exemple derrière nous une jeune fille agitant sa main avec une certaine violence…nous avons aussi vu un couple s’éloigner discrètement vers les toilettes pour des motivations que nous avons aussi partagées….mon politique, fort heureusement dispose de meilleurs revenus que ces étudiants et m’a conduit, sur mes conseils, vers un love hôtel louable à l’heure. Nous avons ainsi pu louer une petite chambre sans fenêtre de quelques mètres carrés. Si mon bel homme a initialement volé à mon secours, j’ai cru pendant quelques minutes que c’était uniquement pour me faire souffrir en retour. J’ai rarement vu une telle fougue, une telle force dans un homme. Nous étions à peine entrés dans la chambre que mes vêtements se sont retrouvés par terre, j’ai été portée sans ménagement sur le lit pour être placée le visage contre un oreiller, les fesses levées et il est entré en moi sans ménagement pour finalement jouir sur mon dos. Tout cela n’a pris que quelques minutes et la gène de mon « bourreau » était visible. Je l’ai rassuré le plus calmement possible. Après tout, aussi fougueux fut il, la sensation a quand même été plaisante. J’aime la douceur en général mais un acte animal est parfois aussi des plus agréables.

Depuis que nous sommes à Paris, nous nous revoyons de temps en temps mais beaucoup plus calmement. Mon bel étalon étant marié et moins anonyme à Paris qu’à Tokyo, je ne lui en veux pas de faire preuve de plus de discrétion…

Je suis invitée à une soirée « Carnaval de Venise »

Un ami de Facebook vient de m’adresser une superbe invitation pour une soirée chez Castel, Paris 6. Le thème de cette soirée porte sur le carnaval de Venise. Le masque vénitien ou son semblable sera imposé dés l’entrée. En revanche, je n’en sais pas beaucoup plus sur le déroulement de cette nuit sauf que cette invitation m’a été adressée via un club libertin. Je pense donc m’y rendre pour vivre une expérience que j’imagine proche d’un de mes films cultes « Eyes Wides shut ». Castel où je me suis rendue assez récemment ne semblait pas faire partie de la mouvance libertine mais je me trompe certainement. Le quartier semble si tranquille, si sage que j’imagine assez mal des hommes et des femmes faire l’amour en public d’autant que les espaces intimes ne sont pas nombreux.

Quoi qu’il en soit je me réjouis déjà de participer à cette soirée où personne ne pourra connaître mes origines asiatiques. Quelques « élus » s’en apercevront peut être en découvrant mon intimité partiellement épilée, ce sera un test très intéressant mais je ne suis pas certaine d’avoir affaire à des experts es poils…Pour la première fois en France, je n’exciterai pas en tant que japonaise mais seulement par mes attributs féminins.

Qui d’autre est invité à cette soirée parmi vous ?…Je vais donc m’acheter un masque vénitien et ne le présenterai sur ce blog qu’après cette soirée. Après « coup », les quelques chanceux de cette soirée découvriront donc si ils ont pu obtenir mes faveurs ou non. J’aime beaucoup ce petit jeu.

L’initiation sexuelle de Dimitri.

Tout a commencé par un courrier reçu dans ma boite Facebook. Un garçon dénommé Dimitri m’a d’abord envoyé un poème sur le thème d’un jeune loup tout juste émancipé de ses parents. Ce jeune loup bien que fort et puissant n’avait toujours pas rencontré l’amour et affrontait de nombreuses péripéties pour trouver l’élue de son coeur au fin fond de la forêt Sibérienne. Sensible aux mots, j’ai ainsi entamé une correspondance soutenue avec ce jeune homme qui m’appelait tout d’abord Mademoiselle. Apparemment de très bonne famille, éduqué, il m’a confié être d’origine russe bien que né à Paris. Résidant près du parc des Buttes Chaumont, orthodoxe pratiquant, il fréquente l’église St Serge, petit bâtiment en bois au sommet d’une colline tout près de la mairie du XIXem arrondissement de Paris. C’est donc tout naturellement que Dimitri m’a proposé de m’accompagner dans ce lieu de culte et de m’apprendre les fondamentaux de sa religion. J’y ai trouvé quelques points communs avec la mienne, notamment l’usage poussé de l’encens, effluve magique permettant de communiquer avec nos ancêtres. Que le peuple russe est beau !…Voir cette communauté russe et Ukrainienne prier dans cette église modeste et richement décorée est un spectacle qu’il ne faut pas rater. Je me suis promise d’amener Dimitri à la rencontre de Bouddha. Ce sera de fait après un autre apprentissage, plus intime encore…

Après l’office orthodoxe, Dimitri m’a proposé de déjeuner sur place, dans une sorte de cantine collective très sympathique. Nous avons mangé une soupe aux pierogi délicieuse. Dimitri, âgé de 17 ans m’a confié dans l’un de ses courriers – d’où la métaphore du jeune loup – qu’il n’avait encore jamais eu d’expérience sexuelle, que ses copines de collège lui faisaient peur et qu’il n’arrivait pas à franchir cette étape au combien importante dans la vie d’un jeune garçon. Dimitri m’a confié être « tombé amoureux » de moi par mes écrits. Il m’a donc demandé de l’initier aux choses du sexe car en moi seulement il ressentait la confiance nécessaire. Il a d’ailleurs avoué que depuis m’avoir « découverte » il s’était mis à fantasmer sur les femmes asiatiques et se masturbait après avoir lu certaines de mes confessions.

Après notre déjeuner, Dimitri m’a précisé que ses parents s’étaient absentés pendant quelques jours et qu’il vivait donc seule dans l’appartement familial. Je lui ai donc demandé de le raccompagner chez lui. Dimitri était très intimidé et légèrement pataud en m’accueillant chez lui. Je pensais que nous étions restés dans l’église St Serge car l’appartement était décoré de nombreuses îcones russes, de tableaux anciens à l’image d’aristocrates russes et d’un magnifique samovar toujours en fonction. Dimitri m’a donc servi un thé russe accompagné de petits gateaux. Dimitri n’aurait jamais pris les devants et je lui ai donc demandé de me montrer sa chambre. Dimitri tremblait légèrement et je n’ai pu que constater un renflement au niveau de son entrejambe…Sans lui laisser le temps de réfléchir d’avantage je lui ai demandé de me déshabiller lentement. Dimitri s’est empourpré mais s’est exécuté. Il a d’abord enlevé mon pull noir, ma jupe en kilt rouge, s’est ensuite attaqué à mes bas opaques et épais. Dimitri était plutôt maladroit et n’a pas pu s’empêcher d’abîmer mes bas…c’était un risque…il s’est retrouvé pour la première fois apparemment devant une femme en dessous. Je portais un ensemble couleur fushia avec un string très léger. Il a voulu se déshabiller mais je l’en ai empéché. Je me suis allongée sur le lit et lui ai demandé de m’ôter mes deux petits morceaux de soie restants. Dimitri était pétrifié de bonheur et d’excitation. Je l’ai invité à m’embrasser le plus lentement possible, il a démarré par mes lèvres, est descendu peu à peu sur mes seins. je lui ai demandé de me lécher chaque teuton très doucement. Ils se sont dressés très vite. Dimitri me couvrait de baisers, sa langue a glissé dans mon nombril, sur mes hanches…La plus grande découverte pour lui était à venir quand j’ai écarté avec beaucoup de provocations mes jambes. Je lui ai expliqué délicatement ce qu’il avait sous les yeux, lui faisant découvrir les grandes puis les petites lèvres. je lui ai d’abord interdit de toucher, seuls ses yeux pouvaient se délecter. Mon sexe en partie épilé le fascinait. Son regard était encore celui d’un enfant et cette situation m’a énormément excité. Mon sexe s’humidifiait à vue d’oeil et même un oeil neuf a pu s’en rendre compte. Je lui ai proposé de s’approcher peu à peu, de faire appel à chacun de ses sens progressivement. Je l’ai invité à approcher son nez seulement sans le moindre contact. Je lui ai demandé de me sentir, de sentir toutes les saveurs intimes de ce sexe qui s’offrait à lui avec la plus complète impudeur. Je l’ai ensuite invité à faire parcourir sa langue en démarrant par l’extérieur de la cavité pour s’approcher peu à peu de mon clitoris surexcité. Dimitri ne tenait plus et m’a supplié de me laisser se déshabiller. Il voulait entrer en moi et découvrir enfin ce moment si important dans la vie d’un homme. Les hommes sont si rapides pour la plupart que je ne voulais pas gâcher mon plaisir avec celui dont je pouvais contrôler chaque battement de cils. Je l’ai donc déshabillé pour découvrir un sexe épais et parfaitement dessiné. Je l’ai allongé sur le lit à son tour et lui ai rendu l’ensemble de ses délicatesses. Malheureusement Dimitri était trop excité et dés que ma bouche a caressé son gland, Dimitri a connu un orgasme soudain et violent. J’ai récupéré toute sa semence dans la bouche, en ai avalé directement une grande partie mais en ai gardé un peu pour embrasser Dimitri. D’abord surpris, Dimitri ne semblait rien vouloir me refuser…Nous sommes restés toute l’après midi au lit et Dimitri a repris très rapidement toute sa vigueur. Je m’étais promise de na pas précipiter les choses et n’ai pas accordé la pénétration à Dimitri ce jour là. Je lui ai appris à me pénétrer de ses doigts, lui ai enseigné les différents rythmes à privilégier. Je lui ai montré un certain nombre de positions mais ne lui ai accordé que de se masturber sur moi, ce qu’il s’est plu à faire deux nouvelles fois….Je l’ai ensuite quitté et lui ai demandé de me convaincre d’une nouvelle rencontre par une nouvelle vague d’écrits…Le fera t-il ? Je pense que oui, nous verrons bien…